Le retour au bercail du kataklé, tabouret tripode, du roi Béhanzin n’en mène large dans l’actualité. Difficile pour le 27ème trésor national d’attirer la lumière des médias par ces temps de saga politico-judiciaire et de qualification des Guépards. La loi de Darwin est sans pitié dans le monde de l’information.
La société de consommation impose son diktat et soumet le public à un flux tendu de sujets éphémères à longueur de journée. Tout y passe, à une cadence inhumaine. De sorte qu’à l’heure du bilan, on ne retient… rien. Le kataklé du Roi-Requin est de retour. Personne ne s’en émeut. La jungle médiatique est décidément bien rude.
Tiburce