Le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, n’est pas un manchot. C’est connu. Cela fait plus d’une dizaine de jours que les Ayatollahs iraniens sont obligés, entre deux vitupérations antisionistes, de cacher prudemment leur guide suprême dans les profondeurs de la terre.
Israël a mis leurs barbes à prix. Mais, en attendant, c’est le Liban qui trinque comme d’habitude. Dès lors, l’actualité au Proche-Orient s’invite dans le quotidien des pays africains francophones. Une nouvelle génération de Libanais prend les routes de l’exil. Et ils savent que, pour eux, le continent berceau aura toujours le gîte, le couvert… et même plus, quelquefois.
Tiburce