Marqués par l’histoire et par Francisco Félix de Souza, nos rapports avec le Brésil restent aujourd’hui très marginaux. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé de leur donner un contenu moderne et dynamique. L’enthousiasme du président Lula à notre égard s’est matérialisé, dans un passé récent, par la réception ici, caméras au poing, d’une colonne de vaches brésiliennes sélectionnées dont personne n’a plus aucune nouvelle.
Patrice Talon, amoureux de culture, séjourne depuis deux jours sur ces terres où ont brûlé récemment, dans une indifférence générale, le trône et les sandales authentiques du roi réformateur Adandozan. Nos trésors royaux à réclamer, ce n’est pas qu’en France. Bonjour Bahia !
Tiburce