L’heure du bilan de la Rupture sera également celle des grandes questions. Que poursuivre ? Que rompre ? Les partis politiques et les prétendants à la succession de Patrice Talon ne devraient pas être les seuls à s’y pencher. La réflexion gagnera à sortir du cadre étriqué de la nomenklatura partisane.
Que poursuivre ? Que rompre? Aux deux interrogations s’ajoutera une troisième : peut-on succéder à Talon sans succéder à Yayi ? De toute évidence, les bonnes réponses ne se trouvent ni du côté des soutiens fanatisés ni chez les comptenteurs peu objectifs. Il faudra, avec la hauteur nécessaire, s’inspirer du bon chez chacun d’eux, zappant scories et faiblesses.
Tiburce