Les premières images de l’ancien président gabonnais Ali Bongo une semaine après sa déchéance, montrent un homme plus détendu, les traits assouplis, porteur d’une certaine énergie vitale. Loin du légume dépressif et fantasque qui demandait à ses ouailles muettes, à travers le monde, de… faire du bruit.
La thérapie de l’éloignement du pouvoir a produit en quelques jours sur la santé du pauvre Ali , des effets que quatre années de soins médicaux les plus pointus n’ont pas eus. Être à sa juste place est parfois le meilleur cadeau que le ciel nous fait. Nous serions moins frustrés si nous le savions.
Tiburce Adagbé