Les historiens se battent sans relâche pour réhabiliter le roi Adandozan. Mais les résultats sont maigres et décevants. Les Ayi, Gangbe, Tchitchi, Codjo, Ayadokoun et les autres nombreux descendants du souverain, dispersés dans la sous-région depuis deux siècles, devront encore patienter pour retrouver pleinement leurs places à la fête des princes du Danxomè.
Ainsi vont les sentences de l’Histoire. Bien souvent impitoyables et injustes, mais irrévocables. En politique comme dans la conduite des Hommes de façon générale, nos exploits importent moins que la façon dont nous rentrons dans les annales. Pensons à ceux qui pourraient porter le fardeau de notre patronyme.
Tiburce
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