A l’UP-R, les coups de hache qu’assène Adrien Houngbedji contre le fût du baobab, ne sont pas perçus comme un péril existentiel. Mais ils commencent à agacer. Le plus grand parti politique de la Rupture se serait bien passé de cet ulcère, à la veille d’échéances électorales majeures.
Au BR, le souci est d’un autre genre : que faire de l’offre, plusieurs fois répétée par les FCBE, d’alliance parlementaire, tout en gardant un discours de campagne homogène et cohérent ? Enfin chez les Démocrates, on devrait être en train d’évaluer la meilleure façon d’être absent de la prochaine législature : en boudant les élections…ou en y allant quand même.
Tiburce
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