Le passage par la mer rouge devient un exercice périlleux pour le transport maritime mondial. Les rebelles Houtis yemenites pro iraniens s’étant bruyamment invités dans la crise israélo-palestinienne, attaquent sans discernement les navires cargo et tanks gaziers ou pétroliers qui s’y engagent. En soutien au Hamas, disent-ils.
Voilà comment un conflit que nous croyons lointain risque de se retrouver dans nos assiettes et même perturber les prévisions budgétaires de beaucoup de pays. Si le Canal de Suez devenait inaccessible, le père Noël pourrait accuser du retard sur la route de certaines cheminées européennes cet hiver. Que peut bien en penser Poutine ?
Tiburce
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