Calme plat à 15 mois des dépôts de dossiers de candidature pour l’élection présidentielle de 2026 au Bénin. La classe politique n’a pas fait que confisquer le débat. Elle s’est efforcée de l’étouffer puisqu’elle s’occupe désormais de poulets et de maïs. Et pourtant, il va bien falloir en parler : comment et avec qui envisageons-nous l’après Talon ?
S’il y a une chose que redoute le vieux marin, c’est la mer excessivement calme, présage de vents impétueux. Le nouveau code électoral a exclu le citoyen non encarté des alternatives politiques de 2026 et ils s’en frottent les mains. À Tort. Quand tout va trop bien, il faut consulter le fâ.
Tiburce
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