C’est du général Mathieu Kerekou que nous tenons, en 2001, la formule, reprise un peu plus tard par Boni Yayi, qui définit l’élection présidentielle comme une « grande fête ». C’étaient en effet de folles kermesses au cours desquelles on consommait de tout… sans jamais craindre d’éventuelles gastrites.
Quand on sait pourtant à quel point un président de la République peut impacter positivement ou négativement la vie de ses concitoyens, il n’y a pas de quoi faire la java pendant que l’un de nous s’active à le devenir. Il faut le scanner avec gravité. Ça ne changera peut-être rien. Mais au moins on n’aura pas de regret.
Tiburce
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