Aujourd’hui se remet en marche la grande mécanique des examens de fin d’année. Moments de stress pour les parents, désireux de faire passer leurs enfants pour des champions. Les mômes n’ont pourtant rien demandé. Ou que si. Ils ne demandent qu’à vivre chaque chose en son temps.
Que leur importe-t-il d’avoir le CEP à sept ans, le BEPC à dix ans et le BAC à 13 ans, à moins d’être attestés surdoués par des structures spécialisées ? Et même là, c’est loin d’être un visa vers une réussite de sa vie pour l’innocent moutard. Un enfant qui se sent aimé autant dans le succès que dans l’échec, fera demain un homme plus utile.
Tiburce
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